On dira ce que l'on voudra, la configuration d'un ordinateur Linux n'est pas une chose simple. Hier soir, j'ai galéré une heure pour basculer le clavier de mon Raspberry Pi en AZERTY...

Certains diront "Pouf! Trop facile". Mouais, pas si facile que cela. Nous allons le voir, Linux propose le système du WPA Supplicant pour paramétrer le WIFI sous Linux.

Par service, on entend programme qui travaille en tâche de fond. C'est un terme générique car Android propose plusieurs solutions pour créer un service (Thread, Intention, ...).

Une application Android est généralement conçu de deux entités : la vue et le service. En effet, une application qui ne fait rien, ne sert à rien! Or, c'est le service qui réalise le job. Et transmet l'information pour l'affichage ou traitement.

L'utilisation d'une clé USB pour installer Linux, ou même en tant que Live-CD (système autonome stocké sur un CD ou une clé USB) n'est pas chose commode. Et pourtant, ce devrait être la méthode la plus commune. Pourquoi? Premièrement par ce qu'il est inutile de graver un CD ou DVD juste pour une utilisation unique. Ensuite parce que les clés USB se sont largement démocratisées et qu'elles proposent des tailles permettant de stocker un CD voir un DVD complet.

Oui mais voilà, ce n'est pas si simple. Et contrairement, à ce qu'on lit sur différents blogs ou sur le site du distributeur, c'est loin d'être évident pour un non initié. Autre difficulté, il faut généralement un système Linux pour générer l'installateur USB. Je viens d'en faire l'expérience avec Debian. Il m'a fallut une bonne dizaine de tentatives pour arriver à un résultat concret. La solution la plus accessible au commun des mortels tient en un mot : Unetbootin

La première question que l'on me pose sur l'usage de mon Raspberry Pi : est-il possible de lire de une vidéo sur un grand écran? Pourquoi cette question? Tout simplement parce que généralement on dispose d'un téléviseur plat HD ... et qu'il permet de lire un film via le port USB en utilisant le système de visualisation intégré au téléviseur.

Les spécialistes vous direz qu'il suffit de mettre à jour le firmware. Premièrement, pas évident qu'on en trouve un, et ensuite certains formats ne sont pas reconnus (mkv, mov, flv, ...).

L'idée de mettre un raspberry pi sur le port HDMI pour décoder le signal vidéo serait-elle la solution?

Depuis plusieurs mois, on parle partout du phénomène Raspberry Pi (Framboise Pi). Il s'agit d'un plateforme dédié initialement à la découverte du monde embarqué et de la programmation.

Il faut dire que ce projet a bénéficié d'une grosse surface de pub dans les médias du monde geek! Mais la réussite de cette plateforme n'est pas le fait d'un coup marketing, l'idée est vraiment novatrice. De quoi s'agit-il? Et bien, d'un mini-ordinateur au format smartphone, idéal pour l'apprentissage du monde de l'embarqué. Je pense notamment à Linux embarqué, voir Android.

L'architecture? Un processeur ARM, 256 ou 512Mo de RAM, ports USB-HDMI-Ethernet et un slot pour une carte SD, le tout sur une carte rikiki qui consomme 3W!!!

Je ressort mon ordinateur portable hier que j'utilise très occasionnellement, et me décide à réaliser une mise à jour du système Windows (seven familial premium 64 bits). Et voilà qu'il refuse de se mettre à jour l'animal, code d'erreur 8024800A. Ha Windows de mXXXX!

Bref vous trouverez ci-dessous la procédure pour vous en sortir...

La programmation par thread se développe petit à petit. Déjà en C sous Unix, il y avait une bonne base avec de nombreux outils comme les mutex, sémaphores, spinlock, etc.... le tout plutôt orienté programmation système, temps réels et drivers.

JAVA qui lui est orienté application, propose également ce type de programmation. Nous étudierons dans ce chapitre les concepts de la programmation JAVA sous forme de thread, qui est beaucoup plus simple par rapport au C.

Elle est possible même dans le cas d'une machine mono-processeur, le temps d'activité sera partagée par la machine virtuelle entre les différents threads s'il y en a plusieurs.

Comment faire pour accéder à votre messagerie sur votre mobile?

Si comme moi vous êtes client chez free, voici comment vous pouvez consulter sur un téléphone Android votre messagerie Free et envoyer des emails par l'intermédiaire de l'application standard E-mail d'Android.

Nous avons vu dans les chapitres précédents les méthodes pour conserver des données dans une application (PreferedShared & SQLite). Le problème est que ces données ne sont pas partageables. Sous Android, seul l'application a accès à ses propres données stockées. Or, il y a de nombreux cas, où partager des données avec les autres applications est intéressant.

Android fournit une méthodologie particulière pour partager ces données, ce sont les fournisseurs de contenu.

Nous verrons que nativement Android en propose quelques uns, mais il est possible également pour le développeur de les créer. Et donc, par ce biais de proposer un service.

SQLite est un système de base de donnée natif sous Android, donc pas nécessaire de l'installer. Il est possible de l'utiliser comme une base de données relationnelle dans vos applications. L'avantage par rapport aux PreferedShared est que la base de donnée est faite pour traiter des données structurées.

Attention cependant, les mobiles disposent de ressources limitées, il faudra un système simple et SQLite est parfaitement adaptée. A noter que SQLite ne fonctionne pas comme un serveur, donc pas comme la plupart des SGBDD. Un seul processus sera en mesure de travailler avec la base qui sera dédiée à l'application (les autre applications ou processus ne pourront pas accéder à cette BDD).